La saugée semble se situer à la frontière entre remède et boisson :
-
Sa sobriété, son amertume et l’absence de sucre vont à l’encontre des plaisirs gustatifs raffinés des banquets nobles.
-
Elle est mentionnée dans des contextes pratiques, de gestion domestique ou médicinale.
-
Il est probable qu’elle ait été servie en fin de repas pour purifier l’haleine et faciliter la digestion (comme une tisane alcoolisée), mais jamais comme boisson d’apparat.
Avant toute chose je vous conseille d’abord de lire ce court article sur la saugée et les vins aromatisés
Vous pouvez également consulter une variante : la Saugée selon le Tractatus XIII° siècle
🧡 Ce contenu est réservé à nos Membres Bienfaiteurs.
Pour seulement 1€/mois, accédez à toutes nos recettes, sans publicité, et aidez à faire revivre un trésor de la cuisine médiévale.
0 commentaires